Depuis quelques heures, Microsoft indique avoir enrichi l'intégration de Facebook en sein des résultats de recherche de son moteur de recherche Bing. Les utilisateurs peuvent dorénavant aimer et commenter les statuts issus de Facebook qui apparaissent au sein des résultats de recherche dans la barre sociale.
Cette barre sociale a été introduite plus tôt cette année et permet d'afficher les statuts de vos amis en relation avec votre recherche. Microsoft et Facebook sont partis du constat que les utilisateurs américains de la tranche d'âge 18-24 ans possèdent en moyenne 400 amis et qu'il est difficile de suivre les actualités de toutes ses connaissances. Cette barre sociale permet de mettre avant les statuts du moment de vos contacts qui ont un lieu directe avec vos recherches.
Cette nouvelle fonctionnalité n'est disponible qu'aux Etats-Unis (ou sélectionner Etats-Unis dans les paramètres internationaux de votre compte depuis Bing) tout comme la barre sociale. Le planning pour un éventuel déploiement à l'internationale de ces fonctionnalités n'est pas connu.
Facebook envoi aujourd'hui à Bing 2 milliards d'informations par jour issu de ses membres. Le nombre de données envoyées par Facebook a toute les change de continuer à croître dans les mois à venir. Le challenge pour Bing est de savoir extraire les données intéressantes de la masse colossale d'informations afin de pouvoir les exposer aux utilisateurs via les résultats de recherche ou autres moyens.
Rappelons que si Bing privilégie Facebook, c'est avant tout parce que la firme de Redmond possède des parts (actions) dans le réseau social afin que ce dernier utilise Bing tant pour ses résultats que pour l'outil de traduction ou encore les cartes géographiques.
Depuis le lancement de Bing (et avant avec Live Search), Microsoft n'a jamais eu la volonté d'avoir une équité dans les fonctionnalités des versions internationales de Bing par rapport à la version américaine, y compris pour la simple mise en page de la page d'accueil. Ce manque de volonté de Microsoft lui coûte probablement quelques parts de marché et une image négative à propos de son moteur de recherche. Comme si l'éditeur ne faisait pas tout ce qu'il faut pour concurrencer Google qui est pourtant son adversaire déclaré comme il aime à le répéter...
Cette barre sociale a été introduite plus tôt cette année et permet d'afficher les statuts de vos amis en relation avec votre recherche. Microsoft et Facebook sont partis du constat que les utilisateurs américains de la tranche d'âge 18-24 ans possèdent en moyenne 400 amis et qu'il est difficile de suivre les actualités de toutes ses connaissances. Cette barre sociale permet de mettre avant les statuts du moment de vos contacts qui ont un lieu directe avec vos recherches.
Cette nouvelle fonctionnalité n'est disponible qu'aux Etats-Unis (ou sélectionner Etats-Unis dans les paramètres internationaux de votre compte depuis Bing) tout comme la barre sociale. Le planning pour un éventuel déploiement à l'internationale de ces fonctionnalités n'est pas connu.
Facebook envoi aujourd'hui à Bing 2 milliards d'informations par jour issu de ses membres. Le nombre de données envoyées par Facebook a toute les change de continuer à croître dans les mois à venir. Le challenge pour Bing est de savoir extraire les données intéressantes de la masse colossale d'informations afin de pouvoir les exposer aux utilisateurs via les résultats de recherche ou autres moyens.
Rappelons que si Bing privilégie Facebook, c'est avant tout parce que la firme de Redmond possède des parts (actions) dans le réseau social afin que ce dernier utilise Bing tant pour ses résultats que pour l'outil de traduction ou encore les cartes géographiques.
Depuis le lancement de Bing (et avant avec Live Search), Microsoft n'a jamais eu la volonté d'avoir une équité dans les fonctionnalités des versions internationales de Bing par rapport à la version américaine, y compris pour la simple mise en page de la page d'accueil. Ce manque de volonté de Microsoft lui coûte probablement quelques parts de marché et une image négative à propos de son moteur de recherche. Comme si l'éditeur ne faisait pas tout ce qu'il faut pour concurrencer Google qui est pourtant son adversaire déclaré comme il aime à le répéter...
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